Semis et boutures

Cédric Constant, après son expérience agricole à Tenerife, entreprend de convertir le jardin de sa mère en aire productive.

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Il dessine un plan pour s’y retrouver et se souvenir de ce qui a été semé: roquette, coriandre, méli-mélo de laitues, persil, potimarron, basilic, cumin, concombre, courgette noire, salade de Tenerife, épinard, blette de Tenerife, maïs du Pérou aux grains géants, tomate cœur de bœuf, radis, carottes…

La taille de la sauge, dont l’amplitude a été réduite pour faire place aux futurs plants, est mise à profit pour préparer quelques boutures qui seront échangées lors de la bourse aux plantes du 4 mai à l’UTLA.

Le terreau est extrait du sous-bois au fond du jardin, les feuilles mortes du chêne ayant constitué, année après année, une bonne épaisseur d’humus.

Le 9 avril, de nouveaux semis sont réalisés : piment de Padron, haricot vert long (plante basse), marjolaine, mâche, aillet pour la salade, moutarde, physalis, piment, haricot grain, tournesol, maïs, chou-rave…

Le 24 avril, récupération de paille et foin à demi-décomposé en terreau après avoir emporté un grand chauffe-eau désaffecté pour recueillir l’eau de pluie.

Le 27 avril, collecte de fumier de cheval.

Le 29 avril, coupe de laurier-sauce au fond du jardin dont les plus grosses branches serviront de tuteurs aux framboisiers et futures courgettes et les plus fines seront tressées pour entourer les parterres du potager.

Semis et boutures
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